RAPPEL DES FAITS DU NPD : Les multiples versions de Stephen Harper sur la mission de combat en Irak

• D’abord, Stephen Harper disait que le Canada s’engageait dans une mission de six mois en Irak, sans troupes canadiennes au front.
• Puis, il y a eu la tragique mort du sergent Andrew Doiron – les Canadiens ont alors appris que nos troupes étaient au sol, sur les lignes de front, en Irak.
• Ensuite, Stephen Harper a prolongé la mission d’une année – et a poursuivi les bombardements en Syrie.
• Maintenant, Stephen Harper dit qu’il n’y a pas de fin prévue à la mission – sans objectifs clairs ni stratégie de sortie.

Pendant que les conservateurs continuent de changer de version et d’enliser le Canada dans cette guerre, Justin Trudeau, lui, n'est pas certain du rôle que devrait assumer le Canada en Irak. M. Trudeau a lui-même avoué que c’était Thomas Mulcair qui posait les questions difficiles sur cette mission.

Stephen Harper présente encore un faux choix aux Canadiens. On n’a pas à choisir entre l’inaction et les missions de bombardement, il y a une meilleure façon de faire les choses.

Thomas Mulcair sait bien que l’EI constitue une menace réelle à la paix et à la sécurité dans le monde. Comme premier ministre, il travaillera avec nos alliés pour neutraliser l’EI, notamment en lui coupant les vivres, et il passera à l’action sans attendre pour aider les réfugiés et sauver des vies.