Canada's NDP

Skip to main content

13 mars 2015

Trois signes qui montrent que Justin Trudeau n’aime pas la liberté autant qu’il le prétend

Cette semaine, Justin Trudeau a déclaré : «un des buts principaux des dirigeants politiques est de protéger et d’élargir les libertés» mais ce qu’il a fait récemment est le contraire de ce qu’il dit.

Voici trois signes qui montrent que le chef du troisième parti n’aime pas la liberté autant qu’il le prétend :

1. Il appuie le nouveau projet de loi excessif de Stephen Harper : C’est ce qu’il faut faire et c’est ça la politique. Il a même dit à des étudiants à l’Université de la Colombie-Britannique que : «Nous pourrions avoir une tout autre conversation si nous n’étions pas à quelques mois d’une campagne électorale mais c’est le cas».

2. Des étudiants le ramènent à l’ordre. À ce même événement, un étudiant a rétorqué : «Monsieur, je dois vous dire qu’en appuyant ce projet de loi qui vous le savez est dangereux tout en promettant de le réformer une fois élu au gouvernement revient à donner nos droits en otage et notre vote en rançon».

3. D’importantes organisations de défense de droits de l’homme comme Amnistie internationale croient qu’il est à côté de la plaque. Il en va de même pour plus de 100 universitaires, anciens premiers ministres et juges de la Cour suprême ainsi pour le commissaire à la vie privée du Canada qui indiquent que les mesures qui se trouvent dans C-51 sont sans précédent et excessives.

Appuyer cette dangereuse loi de Stephen Harper pour des raisons politiques n’est certainement pas une preuve de leadership, c’est plutôt un signe que Justin Trudeau n’est pas prêt pour être premier ministre.