Canada's NDP

Skip to main content

24 septembre 2014

Six des déclarations les plus lamentables de Paul Calandra

Voici six des déclarations les plus lamentables que Paul Calandra a faites à la Chambre des communes en réponse à des questions. Cet homme est le secrétaire parlementaire du premier ministre du Canada; cette année, il a reçu un boni salarial de 16 300 $ pour s’acquitter de cette illustre tâche :

  • « Monsieur le Président, j'aimerais simplement terminer mon histoire. Mon père employait aussi Eugene, un immigrant philippin qui livrait de la pizza. Il s'était entendu avec lui pour qu'il produise des reçus pour l'essence achetée. Eugene aurait-il pu produire des reçus supplémentaires? Bien sûr, mais il ne l'a jamais fait. » 29 octobre 2013
  • « Je me demande : « Que ferait Eugene en ces circonstances? » Je sais ce qu'il ferait : il présenterait ses excuses, il démissionnerait et il rembourserait la somme en question. » 31 octobre 2013
  • « J'ai deux magnifiques filles âgées de 7 et 5 ans, Natalie et Olivia, à qui je donne chaque semaine un peu d'argent de poche, par exemple lorsqu'elles rangent chacune leur chambre. Natalie et Olivia savent pourtant que c'est parfois leur mère qui range leurs chambres. » 30 octobre 2013
  • « De ce côté-ci de la Chambre, nous allons défendre nos intérêts, pas seulement pour mes filles, mais aussi pour votre famille, monsieur le Président, et pour tous ces jeunes Canadiens qui croient encore en la magie de Noël et qui attendent la visite du père Noël. » 10 décembre 2013
  • « Il est vrai que j'aime les fleurs, et évidemment, avec les citrons, j'aime faire de la limonade. D'ailleurs, cet été, mes deux filles ont ouvert un kiosque où elles vendaient de la limonade pour 5 ¢. Elles se sont très bien débrouillées. Je suis très fier d'elles. » 26 novembre 2013
  • « Et je profite de l'occasion pour vous raconter une autre histoire, parce que je sais que nous raffolons des histoires. Lorsque mes filles ont commencé à parler, je leur ai appris leur adresse afin qu'elles puissent dire où elles vivaient à la police ou à n'importe qui d'autre. » 30 octobre 2013

Les Canadiens méritent mieux.