Canada's NDP

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18 septembre 2012

Vote sur une nouvelle stratégie nationale de transport en commun : l’avenir du transport collectif du pays est dans la balance

Le projet de loi du NPD obtient l’appui de maires et de conseillers municipaux de partout à travers le pays

Déterminés à ne plus tolérer les bouchons de circulation et les systèmes de transport collectif inadéquats, de plus en plus de maires, de conseillers municipaux et d’organisations canadiennes exigent la création d’une Stratégie nationale de transport en commun.

« Les experts s’entendent pour dire qu’un appui et un meilleur leadership du gouvernement fédéral sont nécessaires afin de répondre à la crise de la mobilité croissante dans les villes canadiennes, a expliqué la porte-parole du NPD en matière de transports, Olivia Chow. Les villes, les sociétés de transport, les associations d’entreprises, les groupes environnementaux et les syndicats de partout au pays se sont rangés derrière ce projet de loi. »

Le Canada est le seul pays du G8 à ne pas avoir de financement fédéral et un plan national consacrés au transport. Parmi 23 villes métropolitaines, trois des cinq villes les moins bien classées en terme de transports collectifs sont au Canada, c’est-à-dire Toronto, Vancouver et Halifax.

Le temps de transport quotidien dans ces villes varie de 67 à 80 minutes, Toronto arrivant bonne dernière. Le projet de loi de la députée Chow, la Loi sur la stratégie nationale de transport en commun, permettrait de résoudre ce problème et fera l’objet d’un vote déterminant mercredi prochain.

« Les conservateurs auront l’occasion de se porter à la défense de millions de Canadiens… ou de rejeter la volonté de villes comme Calgary, Edmonton, Winnipeg, Ottawa et Vancouver, qui ont appuyé la stratégie, a conclu Mme Chow. Les embouteillages coûtent cher à nos économies urbaines. On parle de 6 milliards $ à Toronto seulement. »