Canada's NDP

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14 novembre 2013

Chrystia Freeland, chapitre 1 : Pourquoi la conseillère économique de Justin Trudeau ne s’est-elle pas battu pour conserver des emplois au Canada?

CHRYSTIA FREELAND PARTICIPE À L’EXPORTATION D’EMPLOIS TORONTOIS VERS L’ÉTRANGER

Il n’y a pas à chercher très loin pour trouver un exemple de cela. Lorsqu’elle travaillait pour Thomson Reuters, elle a conduit une opération de délocalisation d’emploi de Toronto au Bangalore en Inde. Que nous soyons d’accord ou pas avec cette décision d’affaires, il n’est certainement pas logique de refuser de rencontrer les gens qui occupent les emplois que vous prévoyez exporter.

__«_ Le refrain que nous entendons le plus souvent d’anciens employés de Reuters est que Chrystia Freeland ne les a pas défendus lorsque leurs emplois étaient menacés. Aviva West a passé trois ans en tant que rédactrice en chef sur contrat. Elle travaillait toutes les fins de semaine au bureau de Toronto. »_

__«Nous avions zéro contact avec elle (Chrystia Freeland), a déclaré Aviva West. Elle était responsable des nouvelles pour les consommateurs. C’est ce que nous faisions à Toronto. Nous programmions Reuters.com 24 heures sur 24, tous les jours de l’année. Nous voulions lui montrer ce que nous faisons parce que nous travaillions très fort sur ce site Web.»

__«__Nous aimions profondément nos emplois et nous voulions lui montrer que nous ajoutions de la valeur à l’entreprise », a affirmé West. Mais nous n’en avons jamais eu la chance. » – Presse canadienne, 13 novembre 2013

Selon un autre rédacteur en chef de Reuters dont l’opinion est aussi résumée dans l’article :

« Qu'elle [Chrystia Freeland] fasse campagne pour la classe moyenne est tout simplement hypocrite. »

LE NPD CROIT EN DES POLITIQUES INTELLIGENTES AFIN DE MAINTENIR LES EMPLOIS DE QUALITÉ AU CANADA

Pendant qu’elle exportait des emplois canadiens, l’agence Reuters profitait aussi de dizaines de millions de dollars en cadeaux fiscaux offerts aux entreprises par les ministres des finances conservateurs et libéraux qui de 2000 à 2011 ont fait passer le taux de 29,9 % à 16,5 %.

En revanche, les néo-démocrates pensent que des politiques publiques intelligentes lieraient la réduction des impôts à la création d’emplois et à la croissance économique.

Les Canadiens méritent des conseillers économiques qui pensent que des gestionnaires intelligents lutteraient pour maintenir les emplois de qualité au Canada.