Canada's NDP

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15 avril 2021

Le chef du NPD presse Justin Trudeau de s'impliquer pour sauver l'Université Laurentienne

Jagmeet Singh et les député·es néo-démocrates du Nord de l’Ontario demandent aux libéraux de prendre des mesures immédiates pour aider les jeunes et la communauté qui reposent sur l’Université

SUDBURY — Aujourd’hui, le chef du NPD Jagmeet Singh a de nouveau demandé aux libéraux de Justin Trudeau d’agir sans délai pour aider l’Université Laurentienne, son personnel, ses étudiant·es et l’ensemble de la communauté. L’Université qui a permis à des générations de francophones, autochtones et des jeunes de la classe ouvrière d’avoir accès à une éducation de qualité est en train de disparaître et cette situation aura des effets dévastateurs pour le Nord de l’Ontario.

« Les gens du Nord de l’Ontario se reposent sur cette université pour garantir la prospérité de leurs familles et de leur communauté. Le gouvernement libéral de Justin Trudeau a laissé tomber les gens du Nord de l’Ontario, en particulier les francophones, les femmes, les Autochtones et les membres de la classe ouvrière, car il n’a rien fait pour éviter cette crise, a déclaré M. Singh. Au lieu de rester sur la touche et de renvoyer le blâme à la province, les libéraux de Justin Trudeau doivent défendre les Franco­-Ontarien·nes et les résident·es du Nord de l’Ontario et aider à sauver cette université. »

Mercredi, le NPD a demandé un débat d’urgence pour obliger le premier ministre à faire face à cette crise dès maintenant. À ce jour, les libéraux n’ont pas répondu à ces appels à sauver l’Université. Ils ont plutôt renvoyé la balle à la province.

« Le gouvernement libéral de Justin Trudeau et le gouvernement conservateur de Doug Ford ont tous deux laissé tomber les gens du Nord de l’Ontario, car ils ont laissé la Laurentienne tomber dans un état aussi déplorable sous leurs yeux, a souligné le député néo-démocrate Charlie Angus. Il est inacceptable que les députés libéraux de Sudbury et de Nickelbelt restent silencieux face à cette crise dont souffrent leurs résident·es. Nous avons besoin de mesures urgentes et nous en avons besoin maintenant. »