Canada's NDP

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22 novembre 2022

Le NPD condamne les mises à pied de Loblaws motivées par la cupidité et cautionnées par Justin Trudeau

Le député néo-démocrate Blake Desjarlais (Edmonton Griesbach) a publié la déclaration suivante en réponse à la décision de Loblaws d’émettre des avis de licenciement à 500 travailleuses et travailleurs des centres de distribution Loblaws de Calgary Nord-Est pendant les négociations syndicales :

« Les profits de Loblaws ont augmenté de plus d’un million de dollars par jour – pourtant, ils forcent 500 familles albertaines qui travaillent fort à craindre comment elles pourront mettre de la nourriture sur la table au cours des prochaines semaines.

Les néo-démocrates sont solidaires de la Section locale 987 du syndicat des Teamsters. Ces mises à pied constituent une manœuvre d’intimidation, conçue pour miner le processus de négociation collective. Mais ce n’est pas seulement Loblaws qui se comporte mal ici – le gouvernement Justin Trudeau est tout aussi coupable.

Pendant trop longtemps, les libéraux ont laissé les grandes chaînes d’épicerie s’en tirer à bon compte. Tout en réalisant des profits excessifs, les chaînes d’épicerie ont fait grimper les prix pour les Canadiennes et Canadiens, faisant grimper le coût de nos produits d’épicerie bien au-delà du coût réel de l’inflation. Elles ont refusé de payer un salaire décent à leurs employés. Mais le premier ministre Justin Trudeau – dont le parti reçoit d’importants dons de la part des grandes chaînes d’épicerie – refuse de prendre le parti des travailleuses et travailleurs. Il refuse de lutter contre la cupidité des entreprises et de prendre des mesures concrètes face à l’inflation.

Alors que Justin Trudeau se range du côté de Loblaws, le NPD se bat pour les travailleuses et travailleurs.

Ce que le NPD fera différemment, c’est s’attaquer à la cupidité des entreprises qui profitent des travailleuses et travailleurs canadiens. Nous allons arrêter de tout laisser à la Banque du Canada et à la classe des milliardaires, et nous allons plutôt nous mettre au travail pour les travailleuses et travailleurs. »